LA FIN DU RAMADAN AU BENIN.

                         ‘’TOUT CE QUI COMMENCE BIEN FINIT TOUJOURS BIEN ‘’

    Au bénin, après plusieurs jours de jeûne et prières, les  musulmans mettent fin au carême ce dimanche 25juin, ce qui annonce la fête du ramadan.

   En effet le carême de cette année n’a pas du tout été difficile pour nos frères et sœurs de l’islam, car lorsqu’il fait chaud, c’est très difficile pour eux de  résister à l’envi de prendre de  l’eau sous le soleil qui brille très fort .Mais cette année le carême c’est bien déroulé au bénin car le climat y était favorable avec les pluies. « Il ne fait pas chaud au bénin comme dans les autres pays sahéliens, c’est un mois de grâce, de bénédiction et de pardon, au cours duquel  nous demandons à Dieu d’exaucer nos prières et de bénir nos initiatives » affirme un musulman qui se sent très fière d’avoir bien finir le jeune avec beauté.

 

  Par ailleurs l’islam précise que «  le jeûne  s’abstient pas par  des actes illicites et blâmables tels

que : le sabotage, l’adultère, le vol, le mensonge etc…ne récoltera rien de son jeune » parole de l’islam .Concrètement, l’islam explique que la fête devrait avoir lieu dimanche au lundi, car le mois du jeûne est un mois de fortification spirituelle que les croyants devraient comprendre.

 

    Ainsi comme l’affirme un musulman « le jour de la fête, il n’ y’aura que des vêtements neufs sur les corps  par, une prière à la mosquée à 9h, et dans l’après-midi un grand festin avec des amis et des voisins afin de partager ensemble la grâce, la bonté et les bénédictions »

   En outre nous espérons que leurs prières furent écoutées  afin que le pays demeure dans la paix.

Le calvaire à Cotonou pendant les saisons pluvieuses.

     Cotonou est la capitale économique et la plus grande ville du Bénin, pendants les saisons pluvieuses,elle n'a jamais cessé de s'inonder . Ce qui constitue un véritable fléau pour la population ..le gouvernement face  à se constat ne réagis toujours pas, alors que la population ne cesse  de se noyer non seulement  dans l'eau , mais aussi dans la misère et les maladies   

Nous voici en saison pluvieuse, la période où il fait beau dans certaines localités, alors que c’est un calvaire  pour la population de Cotonou. En dehors des inondations, qui se remarquent dans la plupart des quartiers par des lacs artificiels, l’insalubrité aussi a pris place, source de grave maladie et menace la vie des citoyens. Ceux-ci se demandent à chaque fois ce que l’Etat fait face  à ce fléau. Plusieurs questions reviennent : « Que font les autorités en charge de l’assainissement, de la construction et du développement de la ville de Cotonou ? »  «A quoi ont servi les  milliards de FCFA investis pour sortir la ville de son état insalubre ? Quand est-il des 3CI : Cotonou en Campagne Contre l’Inondation ?

 C’est devenu un véritable casse-tête, lorsqu’on se rend compte que le problème de l’inondation n’a pas été résolu depuis des années. Chaque année l’on enregistre plusieurs malades de paludisme, et autres. L’Etat face à ce constat ne réagis pas promptement et laisse des pauvres à leur sort , que ça soit les élèves qui sont obligés de marcher dans l’eau avant d’aller à l’école , les vendeuses, ou les Taxi motos communément appelés zémidjan.

 Malgré les efforts des autorités à divers niveaux , Cotonou n’est pas encore arrivé à ne pas se noyer en saison pluvieuse surtout à cause de sa position géographie par rapport à la mer, De plus  le taux d’insalubrité s’élève de plus en plus en cette période ce qui rend la ville très sale. Etant la capitale économique, elle doit être toujours propre et désengorgé, les autorités devraient rendre la ville plus belle et attractive grâce aux infrasctures. C’est vraiment une honte aux alentours du marché Dantopka., les rues des quartiers comme St Michel, Sikècondji , Ste Cécile , Gbegamey , Fifadji , Vodjè , Agonticon,Akpakpa  sans oublier Agla, Cette période tend beaucoup de pieges aux usagers  à savoir les engins et voitures qui se gâtent dans les eaux inondés ; les trous profonds qui les guettent à la tombée de la nuit, les caniveaux non couverts qui sont dans l’eau,etc

La population de Cotonou est convaincue que jusqu’à présent rien n’est amélioré c’est plutôt le comble affirme certain. Espérons que le gouvernement du Président Patrice Talon en collaboration avec la Mairie de Cotonou mettent fin à ce cauchemar qui n’a que trop duré.

Tatouer ""je suis un voleur""au front d'un ado.

Deux Brésiliens ont été arrêtés ce week-end près de Sao Paulo pour avoir tatoué de force la phrase «je suis un voleur» sur le front d'un adolescent de 17 ans accusé d'avoir dérobé un vélo.

Les suspects, de 27 et 29 ans, ont reconnu les faits, se justifiant en expliquant qu'ils avaient vu le jeune homme essayer de voler une bicyclette, ont relaté lundi plusieurs médias locaux.

 

La famille de la victime, inquiète de ses nouvelles, a découvert  sur les réseaux sociaux une vidéo des tortionnaires en train de tatouer la phrase sur le front de l'ado,

Sur la vidéo, l'adolescent apparaît attaché sur une chaise alors que ses tortionnaires utilisent une machine à tatouer pour marquer son visage de lettre.

«Avant de le tatouer, ils lui ont attaché les mains et les pieds. Il criait pour demander pitié»,

.

La victime, a nié avoir tenté de voler la bicyclette en question. «J'étais ivre, j'ai bousculé le vélo sans faire exprès et il est tombé».

L'adolescent a aussi raconté qu' ils avaient décidé de lui raser les cheveux

 

«Mon fils n'est pas un animal», s'est insurgée sa mère . «Il est malade. Il a besoin de l'aide d'une clinique pour décrocher des drogues, mais nous ne pouvons pas payer parce que ça coûte trop cher».

Une campagne de dons en ligne pour aider la victime à payer une opération pour enlever le tatouage a déjà permis de réunir plus de 15 000 réais (un peu plus de 6000 dollars) en deux jours.

 

Appris par l'agence France presse,

DE LA DECISION DE FAIRE PASSER AUX ETUDIANTS DES ETABLISSEMENTS PRIVES UN EXAMENS NATIONAL EN LICENCE

« « Lorsque par hasard de la vie, on arrive à assumer les hautes responsabilités au sommet de l’Etat, c’est-à-dire se trouver dans la posture de décider à la place des autres, on doit avoir  l’esprit d’équité. Dans ce pays les études supérieurs étaient assurées par  l’université nationale du Bénin (UNB).Avec l’évolution du temps l’UNB est devenu l’Université d’Abomey Calavi (UAC).

Cette évolution du temps traine avec elle les adaptations et transformations qui forment des reformes nécessaires à la formation. L’Université de Parakou fut créée. Dans cette optique, les Etablissements privés et Universités privées ont été autorisés à répondre au besoin croissant de formation de la jeunesse. Pour être en harmonie avec les standards internationaux, le Bénin à finir par adopté le système LMD (licence, master, doctorat)  comme parcours académique.

Ce standard LMD à des exigences de cours à dispensés, des contrôles de connaissance et de diplôme à décerner. Ces exigences sont parfois contraignantes  au point où même  l’UAC ne parvient pas encore dans ses facultés à les respectés. Les Etablissements ou Universités privés se sont mis à la tâche pour satisfaire à la demande et à la nécessité de formation de la jeunesse face à laquelle l’Etat se trouve essouffler.

 Il est à noter que le service rendu par les Etablissements ou Universités privés non été sans dérapages et travers préjudiciable à l’objectif de formation, la vraie formation. Pourtant les cours dans ces Etablissements ou Universités privés sont assurés dans la majorité des cas par les Enseignants ou professeurs reconnues pour leur titre et qualifications dans nos Universités nationales ou publics  (UAC et UNIPAR).

Mais ces travers ou dérapage observé  au niveau de ces Etablissements ou Universités privés s’observent aussi dans nos Universités dites publics. Aussi bien qu’il est possible de s’acheter une Licence, un Master ou un Doctorat dans les Etablissement ou Universités privés, il l’est autant dans nos Universités publics.

 Le constat de désolation, qui amène aujourd’hui l’autorité à engager une réforme pour améliorer les qualités de la formation et l’authenticité des parchemins est légitime. Cependant la décision de faire passer un examen national de licence aux seuls Etudiants du privé est inique et dépourvue de toute idée justice.

 Il n’Ya pas une jeunesse du secteur public et celle du secteur privé .Nous avons une jeunesse béninoise .Oui pour l’organisation d’un examen nationale de licence pour les étudiants à ce niveau de formation .Non pour que cela soit organisé pour les seuls étudiants des universités privés .Etant donné que le bénin a adopté le système LMD, si l’examen de licence il doit avoir, celui-ci doit être pour tous. Universités publique et Universités privées. » »

Source:Zéphirin AWOUGAH     

willy mignon entre la vie et la mort

L’artiste béninois Willy Mignon est entre la vie et la mort en Côte-d’Ivoire. L’information circule depuis ce matin sur les réseaux sociaux. Telle une poudre dans l’air, la nouvelle a atteint Cotonou dans la matinée de ce samédi 10 juin 2017.

 

En effet, le concepteur du  »Noudjihou » serait agressé par des individus non identifié à Abidjan en Côte d’Ivoire. Selon nos recoupements, l’arrangeur de l’artiste Willy Mignon qui était également sur les lieux s’est grievement blessé suite à l’attaque des agresseurs. L’artiste a donc été dépouillé de tout, alors qu’il était  en mission de production avec son label Dhelili Compainy. 
 

Willy Mignon, l’artiste du peuple est injoignable depuis ce matin. Une situation qui inquiète plus d’un. Le peuple béninois attend donc avec impatience les nouvelles de l’homme qui dénonce et construit.

 

Willy Mignon est un arrangeur et compositeur béninois. Il est également à l’origine de la danse « Noudjihou ». Suite à un séjour en Côte d’Ivoire, il s’inspire du coupé décalé dans ses arrangements. Il a fait son retour dans l’actualité avec son nouveau single intitulé " Mesures sociale".

 

En attendant donc les nouvelles informations sur la santé du précurseur de  »Noudjihou », son épouse, l’artiste Dossi éprouve une vive inquiétude à propos de cette situation.

LA MUSIQUE AGBAGJA

danse agbadja.

        Agbadja est une danse traditionnelle du Ghana qui est venu prendre place au sud-ouest du Benin. C’est une musique propre, qui a connu ses heures de gloire avec Emmanuel KPATCHAVI, et gonas PEDRO .elle se joue avec deux grands tams-tams, un tams-tams moyen, des hochets et un gong  jumelé, suivi d’un groupe composé des hommes et des femmes.

 

        Vive et gaie ,Agbadja se danse avec vigueur et énergie à travers des martellements du sol, les mouvements des bras et des épaules vers l’avant et l’arrière pour faire plier et déplier le dos, le corps incliné vers l’avant et le visage rayonnant de bonheur, les meilleurs danseurs font parfois des chorégraphies pour rendre la danse plus esthétique .

agbadja

        Selon nos ainés « Agbadja était une musique funéraire qui a évolué  pour devenir profane et se joue lors des réjouissances et manifestations populaires ».Ses chants véhiculent des messages, car la plupart de ses fans  qui dansent  selon le rythme écoutent les paroles pour certains gestes avec la mains ou le dos .Les messages sont souvent éducatifs ou parfois amusants .Agbadja englobe des chants qui sortent des messages philosophiques, ou en proverbe, de façons de vivre, et se sont ses chants-là qui intéressent le conservatoire de danse béninoise.

 

          A Oumako toujours au sud-ouest du bénin ; tout spectacle d’Agbadja commence par un chant d’hommage aux fondateurs de oumako, TOGBE AGBEDE, TOGBE AGALA, TOGBE AKITI,…Ces ancêtres  avec l’aide de vodou Agué protègent les actuels dépositaires d’agbadja et toute la population.

 

         En outre aujourd’hui bien connu par le monde Agbadja fut et demeure une danse traditionnelle très valorisé, avec laquelle plusieurs artistes dont Gbéssi zolawadji, NOBERKA, Gandjegbe ect… voyagent beaucoup et représentent  le Bénin.

                                    ‘’vive Agbadja, vive la culture béninoise’’.