Une légende de la music béninoise "Nel Oliver".

Directeur artistique, Auteur, Compositeur, Arrangeur, Ingénieur de son, et Chanteur, Noël AHOUNOU Aka Nel Oliver, est né le 17 décembre 1948 à Cotonou, au Bénin. Il a un faible pour les gospels , reggae et slows tirés des musiques traditionnelles, dont l’akpala yoruba chantés en français ,en yoruba ou en anglais , ce qui l’a poussé  à chanter une de ses meilleures tubes intitulée « baby girl ».En 1981 Nel Oliver est devenu propriétaire de son studio d’enregistrement à Paris qu’il  a nommé « spade music ».Quelques années plus tard, il créé en 1987 son label intitulé « Nel Oliver productions » ce qui fait de l'un des principaux producteurs Béninois .

En effet l’artiste béninois Nel Oliver a commencé la music dès sa jeunesse à l’âge de 14ans où il a débuté comme guitariste et chanteur dans le ray-Da jazz de la capitale Suite au succès de sa music à paris en 1967, où il se met à jouer dans la capitale française avec divers groupes de music africaine avant de se lancer seul dans sa carrière. Il a sortis sur le label Fiesta record « the trips , my music take you » , écrit avec Frank Abel en 1976,après 45 tournées chanté en anglais .IL a connu un succès immédiat dans les discothèques surtout en Afrique. Mécontent de la manière d’enregistrement du son en Europe , Nel oliver se lança dans une formation théorique et pratique d’ingénieur et technicien du son en France et en Angleterre.

 

En février 2005, Nel chanta une chanson qui réédite dans une version reggae « Démocratie, un hymne à la conférence Nationale des forces vives de la nation tenue en février 1990 au bénin. Un an plus tard il a rendu hommage à Gnonnas  pedro en lui dédiant un single au beat reggae africain.

 Il a partagé son savoir-faire avec des artistes comme Sagbohan Danialou, Anna Teko, Castella Ayilo, Madou et plusieurs autres artistes.

Il a sortis son album Wadjo dont Upheaval (soulèvement), un titre funk, soul, akpala, un rythme traditionnel yoruba chanté et même dédié à Nelson Mandela en 1998, qui a fait le tour du monde.

Nel oliver a été lauréat de plusieurs trophées  en janvier      2005, il a reçu de la part du Comité d’Organisation d’Afrivision un trophée en reconnaissance de la qualité du travail de Direction artistique et technique. Lauréat du trophée « Hokan »récompense la qualité de son parcours et de sa carrière musicale le 23 novembre 2008, trophée fraternité pour la meilleure composition de chanson pour la paix le 03 avril 2010,  et de plusieurs autre trophées   au plan nation et international

Le Baobab de la music béninoise.

 

Née en 1951 à EPKé, Sagbohan Danialou est un enfant de wémin région de Porto-Novo, et ses parents originaires d’Abomey. Il est surnommé l’homme « d’orchestre », pour son aptitude à jouer plusieurs instruments.

Initier dès son jeunes âges à la manipulation des outils traditionnelles dont le tam-tam, le gong, les maracas, le tambour du kpahoué et du kpezi, il se lance dans la carrière de la musique, en marquants les rythmes vodou du sud du pays, suite à son apprentissage de la céramique à l’âge de 16ans, de manière originale. Il a monté des groupes Afro Band au sein duquel il explose les musiques traditionnelles du sud Bénin qu’il orchestre .Ainsi Sagbohan Danialou a notamment composé plusieurs  chansons qui retracent l’histoire du Bénin, comme son morceau fétiche, qui séduit les béninois « A mon nou dé hou dou » et sans oublier une autre chanson qui éduque les jeunes « aller à l’école pour votre avenir ».

L’lauréat de nombreux prix, ordre du mérite béninois en 1995, prix de l’artiste 2000, meilleur artiste auteur compositeur de l’année 2004 avec Gnonnas pedro , médaille de la creativité décerné par l’OMPI (l’originalité Mondiale de la propriété intellectuelle) sans oublier plusieurs autres .Sagbohan Danialou est une légende qui défend le patrimoine musical béninois.

Absentéisme scolaire: "Le tribunal a voulu condamner la mère au lieu d'aider l'enfant"

 Une mère condamnée pour l'absence de ses enfants à l’école scolaire

Une mère originaire de condé dans le nord, a été condamnés le jeudi dernier à 6mois de prisons avec sursis pour l’absentéisme répéter de ses enfants jumeaux de 8ans à l’école pendant l’année scolaire 2015-2016 .Une décision qui a été rarissime. Selon le courrier picard, leurs absences en classe répétées sont rarement justifiées.

Dans cette affaire, c'est le comportement de cette mère de famille d'une quarantaine d'années qui a été sanctionné. Car ce n'est pas la première fois. La justice l'avait déjà condamnée à un stage d’responsabilité parentale. Elle ne s'y était jamais présentée, affirme le Courrier Picard. Ne se souvenant même pas du nom d’école de ses enfants, la mère affirma n’ayant jamais reçu un courrier de convocation. Ses jumeaux souffrent de retards d'apprentissage, mais «Tout est réglé", a expliqué la mère durant l'audience. «Pour vous parler, il a fallu envoyer les policiers chez vous", a répondu le vice-procureur.

Le parquet a assuré surveiller la situation et qu'il n'hésiterait pas à requérir de la prison ferme si la situation ne s'améliorerait pas. La maman a également été condamnée à verser 1100 euros au conseil départemental.

 Chaque année, plusieurs parents sont mis en cause pour l'absentéisme de leurs enfants. A la base de cette condamnation. Ce texte prévoit une peine de deux ans de prison et de 30 000 euros d'amende dans le cas où les parents compromettent "la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation" de leurs enfants. Une telle condamnation est rare, mais pas inédite.

 

L'homosexualité interdit au Nigéria : 42 hommes on été arrêtés dans un hôtel.

Le ministre de la justice du Nigéria, Abubakar Malami, a reçu une pétition qui à été lancée sur les réseaux sociaux, pour demander la libération de 42 hommes accusés d'homosexualité. Les activistes qui appellent à soutenir ce mouvement savent que ce n’est que le début, et le combat est loin d'être gagné.

Le Nigeria est un pays où l’homosexualité est interdite et est répréhensible de 14 ans de prison. Dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 juillet, 42 personnes avaient été arrêtées dans un hôtel du quartier d’Owode-Onirin, au nord de Lagos, après un raid de la police.  

Les militants pour les droits des gays tentent de faire évoluer les mentalités au Nigéria, hors c’est un pays où la religion occupe une grande place. « Il y a encore 87% des Nigérians qui pensent que la loi interdisant le mariage de même sexe est une bonne chose. Et quand vous êtes un politicien, vous ne voulez pas aller contre 87% de vos électeurs potentiels », reconnait Ashiwaju Bisi Alimi, un militant pour la cause gay.

« Mais ce que nous voudrions, c'est un environnement où – comme n'importe quel Nigérian – nous pourrions avoir le droit de nous réunir, le droit d'accéder aux informations et de participer au processus démocratique, poursuit-il. Jamais par la passé au Nigeria, il n'y a eu de véritable mouvement en faveur du mariage de personnes du même sexe, ou même pour réclamer  la légalisation des pratiques homosexuelles. Mais ce que nous voudrions, ce serait de pouvoir respirer, vivre et faire partie de la société nigériane ».Concluent-ils. En espérant les résultats du gouvernement, leurs luttes ne cessent de continuer.

 

Fodé Doré, l’attaquant congolais.

Après une grave blessure en 2015 qui lui a fait perdre du temps, pour mieux retrouver ses capacités physiques  l’attaquant international congolais Fodé Doré, va donc évoluer en ligue 2.Dans le monde du football, il y a les stars, dont Neymar, qui font beaucoup parler d’eux dans  la chronique depuis des semaines. Et les autres. 

Le congolais Fodé Doré en sait quelque chose, lui qui a connu une grave blessure en 2015 avec une fracture du tibia qui l’avait éloigné des terrains pendant cinq mois. Aujourd’hui, il  est prêté par Angers à Clermont en Ligue 2. L’attaquant sort d’une saison difficile, avec seulement neuf apparitions en Ligue 1, et aucun but marqué. « C’était dur pour moi. Quand tu reviens de blessure, c’est compliqué de récupérer toutes ses capacités », explique sagement à RFI Fodé Doré.

Connu comme l’un des meilleurs buteurs de la sélection, il a pour objectif de se relancer, reprendre le rythme, avoir du temps de jeu et apporter son « expérience » de la Ligue 1 et de la Ligue 2. En tout cas, pour Fodé Doré, il ne faut surtout ne pas se perdre, c’est la réalité. « Je veux donner le maximum pour moi et l’équipe. Faire marquer et marquer comme je sais le faire », explique-t-il. Pour l’international congolais, la première des choses est de « retrouver » son physique. Ensuite, il pourra penser à « briller » sur le terrain. Lors de la première rencontre face au Paris FC, il est entré à l’heure de jeu. « De par sa taille, de ses capacités athlétiques, on attend de lui plus d’engagement. Il va falloir qu’il fasse beaucoup plus », prévient son entraîneur Corinne Diacre.

« J’ai adoré travailler avec Fodé »

« Fodé Doré, c’est quelqu’un dont il faut être proche, car il a besoin d’amour, nous raconte Claude Le Roy, désormais sélectionneur du Togo. Mais il faut aussi être intransigeant avec lui. Il a été exemplaire avec moi. C’était une relation très chouette, j’ai adoré travailler avec Fodé. On avait bossé comme des fous et je crois qu’il doit continuer à faire plus. Il mériterait de jouer au haut niveau et il doit en prendre conscience ». Claude Le Roy se souvient encore des quatre buts que Fodé Doré avait marqués en Guinée Bissau en septembre 2016 lors des éliminatoires de la CAN 2017.