Précédemment: "Du coup il commence à enlever ma
robe en me faisant des petits bisous partout. Je me retrouve en sous vêtement
devant lui, il se déshabille, et commence à me doigter avec un doigt, ensuite,
deux et après trois, Wallach c’était trop bon, je faisais que gémir même si sa
faisait mal, mais à la fois doux, bon je ne sais pas comment vous l’expliquez…."
Le matin je me réveille, je me
retourne et je vois gaël, toujours en train de dormir, je lui caresse sa barbe
et il sourit toujours les yeux fermés.
Lui : réveilles-moi comme
cela chaque matin chérie,
Moi : (sourire) je te
croyais toujours endormis
Lui : tu ne pèses même pas.
Alors tu as aimé pour hier ?
Moi : non, tu es trop nul.
Il fronce les sourcils !
Moi : (rire) je blague, tu
étais trop super.
Il me jette sur le lis et
m’embrasse pendant de long moment,
Moi : hé Mr il est 9h, ce
n’est pas trop tôt pour faire l’amour ?
Lui : chuuut, tais-toi, on s’en fou après
tout.
Moi : Tu es trop drôle!
Lui : ton corps et ta beauté
d’ouf me tue,
Il se remet à me faire des bisous, et il s’est
passé ce que vous savez déjà.
Bon, je vous passe 1mois, Gaël et
moi tout vas bien, on s’en gueule des fois, mais ça dure pas longtemps.
Aujourd’hui il faut que nous allions voir ses parents, je suis assise au salon
en train de regarder raiponce, quand je sens un bisou tendre dans mon cou.
Moi : ton parfum te trahit
toujours,
Gaël : Dis plutôt que tu
adores, Ce n’est pas comme le tient qui sent comme un caca parfumé.
Moi : hé, depuis quand mon
parfum sent comme un caca parfumé ? Tu exagères là !
Gaël : boudes pas, je
blaguais. Quand je te dis que tu fais vraiment tout comme une gamine tu vois
que je ne mens pas ?
Je lui jette un regard noir, et
il sourit en me faisant un clin d’œil, du coup son téléphone sonne, il s’assoit
à côté de moi, met sa tête sur mes cuisses, et décroche.
Conversation téléphonique.
Gaël : Allo !!
???: …..
Gaël : Tu me veux
quoi ?
???: …..
Gael : Dégage,
Il raccroche, se lève et se
dirige vers la chambre en montant les escaliers.
Moi : C’était qui au
téléphone ?
Gaël : Mon Ex
Moi : Elle voulait
quoi ?
Gaël : EST-ce UN INTEROGATOIRE ?
DEPUIS QUAND DOIS-JE TE RENDRE COMPTE DE TOUS LES CONVERSATIONS
TELEPHONIQUES ? TU ES MA FEMME PAS MA MERE.
Moi : ok.
Vraiment je ne savais pas ce que
cette pute lui as dit, pour qu’il soit nerveux à ce point, je voulais du tout
plus lui adresser la parole. Nous devrions aller chez ses parents dans l’après-midi,
mais à voir son Etat ce serait qu’une autre fois.
Alors je vais à la cuisine, je
prends des chips, du popcorn, des gâteaux, du jus, et un grand emballage des
frites fris. Je monte dans mon ancienne chambre et je ferme la porte à clé. Car
je voulais ni le voir, ni le sentir. Actuellement il est 15h, et pas un moindre
signe de lui, il n’a même pas toqué.
Peut-être il ne sait pas que je
suis là. Ou il est sorti ? Ou il
fait quoi dans la chambre ? Je ne sais pas ce qu’elle lui a dit et si
c’était sérieux ? Je devrais lui parler pour qu’il se calme nan ? Non
non non il va trouver ma faiblesse. IL a crié sur moi tout à l’heure et il doit
venir s’excuser, il ne va pas mourir s’il le faisait.
Je faisais que tourner de gauche,
droite, gauche droite, j’avais juste une envie c’est sortie et aller régler le
problème, mais je ne voulais pas me rabaisser à ce point. Il est 19h et je n’ai
pas de ses nouvelles, de plus j’ai froid, alors je sors pour aller me chercher
un pull quand je le vois assis au balcon en train de fumer de l’herbe.
Moi : Quoi ? Gaël JETTE MOI CA !! Écoute moi bien, Tu
peux me crier dessus, je vais t’ignorer, tu peux me frapper je vais t’ignorer,
tu peux me tromper je vais t’ignorer (même pas en rêve). Mais tu ne peux jamais
fumer et je vais t’ignorer. Ça jamais, à
grand jamais.
Je lui arrache l’herbe et je
jette sa très loin sans regarder où ça atterrir, je voulais repartir quand il attrape
mon poignet et me tire sur lui.
Lui : (avec larme aux yeux)
il y’a un mois de cela, elle m’a avoué qu’elle n’avait jamais avorté, que
mon fils était toujours là et qu’elle est presque à terme de grossesse. Je
savais pas comment te l’annoncer, je ne voulais pas que tu m’ignores et me
laisses pour ça, je voulais aussi être sûr que ça soit mon enfant et non une
blague avant de t’en parler, on a fait des textes et c’était marqué noir sur blanc que j’étais le
père. J’étais heureux à la fois malheureux, heureux car j’aurai un fils, mais
malheureux car je risque de te perdre, aujourd’hui elle m’a appelé pour me dire
qu’elle a perdu le bébé à l’accouchement. (Il pleure plus).
Je ne savais quoi dire, mais je
n’allais jamais le quitter pour ça. Ce n’est pas comme s’il m’avait trompé.
Vraiment, je me sentais très mal par rapport à ce qu’il a dit, alors je l’ai
pris dans mes bras en le caressant le dos.
Lui : Nice je ne voulais pas
crier sur toi chérie, je suis désolé, vraiment désolé(en pleure).
Moi : j’ai compris pourquoi
tu l’as fait, et je suis plus fâchée t’inquiètes mais promet moi ne plus
recommencer.
Lui : je te le
promets !
MOI : maintenant arrêtes de
pleurer, s’il te plait. Non tu peux continuer, c’est une belle preuve que tu es
un bébé.
Ce n’est vraiment pas facile de
consommer la mort d’un bébé, il serait tellement fragile, que je ne le souhaite
à personne comme malheur. Gaël à réussit à sen dormir mais après avoir pris
plusieurs vody, je ne savais pas quoi faire, pour le réconforter, le lendemain
quand il se réveillera toujours avec l’air triste. Je me suis couché soucieuse
de son Etat. Le Lendemain je me suis réveiller vers 8H il n’était plus au lit,
je me suis levé pour jeter un coup d’œil dans
la salle de bain, il n’était pas là je voulais sortir et voir au salon
mais il s’apprêtait à entrer et on s’est croiser.
Lui : bonjour chérie, bien
dodo ?
Moi : Bonjour, c’est à moi
de te demander ça Mr, ça va mieux ?
Lui : Pas trop bien, mais ça
irait mieux dans quelque instant (clin d’œil)
Moi : ah ouais ? Tu
mijotes quoi encore, je te promets je ne veux pas sortir, je suis épuisé je
veux dormir, quand tu commences à faire des clins d’œil c’est que tu veux qu’on
sorte.
Il croise les bras, s’adosse au mur,
et fronce les sourcils.
Lui : ‘(soupire)
Moi : (rire) je t’ai déjà dit
que tu es beau quand tu fronces les sourcils comme ça ?
Lui : Ne commence pas à me bleuir,
va te doucher, on va en AMERIQUE dans 1h, le billet est déjà prêt.
Moi : (je sursaute)
Quoi ? Non, Tu blagues ? jures !
Lui : A ta place j’irai me
préparer, j’ai même déjà fais ta valise et la mienne, j’attends que toi pour
bouger.
Moi : Quoi ? Tu as fait
ma valise ? , mais Gaël je suis sure que tu n’as pas mis de robe courte ou
sexy, non je vais là refaire, moi-même.
Lui : (commence par rire, en
tapant les mains) vraiment Nice, tu es trop drôle, t’inquiètes, je n’ai pas mis
beaucoup de chose, car on fera du shopping une fois arriver,
Moi : ok, je vais me doucher
au plus vite,
Vraiment je suis trop contente,
je vais une fois encore voyager, merde c’est trop bien, je me presse de me doucher,
je me maquille pas, je porte un jean bleu ciel, des baskets noirs, un tee-shirt
blanc et une casquette noir (Sapologies). Pendant ce temps Gaël étais en train
de donner des instructions aux femmes de ménages et au major d’homme sur notre
absence. Je descends et c’est le chauffeur qui nous dépose à l’aéroport pour
pouvoir ramener la voiture.
Une fois à l’aéroport, il était
déjà 10h30, alors j’imagine que le vol sera dans 30min, vu qu’il n’avait pas
cessé de crier à la maison qu’il nous restait 1h de temps. Nous étions assis
dans une cafète à l’intérieur de l’aéroport pour prendre à boire.
Moi : au fait chéri le vol
c’est à quelle l’heure même ?
Lui : (il sourit) bon ma
chérie, c’est à 12h,
Il n’a même pas finit sa phrase,
avant de commencer à mettre ses écouteurs dans ses oreilles. Car il sait que je
vais crier sur lui.
Moi : quoi ? T’es
sérieux, pourquoi tu ne pouvais pas me dire que c’est dans 2h30min au lieu de
1h, à cause de ça je me suis même pas maquillée.
Lui : Evidement c’est pour
éviter que tu passes 2h de temps dans la salle de bain à te passer, du masque,
des peintures ,des feutres, des crayons de couleurs, et autre que je sais même
plus, que j’ai dit dans une heure, (rire)
Moi : tu es très drôle, donc
moi je mets des peintures sur le visage quoi (rire).
Lui : bah ouais, je ne sais
pas moi, je ne vais pas me mettre à bucher tous ces noms non ?
Nous nous sommes mis à rire et à
discuter, il est tellement beau quand il rit. Bon il était déjà 11h environs, et
nous attendions 12H pour remplir les formulaires et partir. Je vois une
serveuse très belle qui vient vers nous, elle passe la main dans ses cheveux
pour les arranger. C’est quoi cette merde, elle veut servir les clients ou
faire miss ?, je la fixe droit dans les yeux, pour qu’elle cesse de
balancer ses fesses, Gaël lui ne voyait pas le cinéma, il était trop concentré
sur son téléphone,
Elle vient vers nous, et lui lance un sourire de merde.
Elle : bonjour, désolé de
vous avoir fait attendre, alors Mr on vous sert quoi ?
Moi : Mr ? VOUS VOYEZ
DEUX PERSONNES SUR UNE TABLE ET VOUS VOUS ATTAQUEZ DIRECTEMENT AU MR ?
POURQUOI PAS MADAME ?
Lui : chérie, baisse d’un ton,
tout le monde nous regarde,
Et vraiment tous les regards
étaient braqués sur nous, mais quand ils ont vu nos regards noirs (Gaël et moi)
ils ont vite quittés les lieux.
Elle : Alors je vous sers
quoi Mr (elle caresse la main à Gaël et lui fait un clin d’œil devant moi
en plus)
Et voilà vous avez déjà une idée,
c’est repartir, en FAST AND FURIOUS, je ne sais vraiment pas comment ma mains
gauche lui a fait un tatouage bleu sur la joue,
Gaël : NICE, pourquoi tu
l’as giflé ?
Partie 11
Moi : Mais c’est ma main,
qui s’est retrouvé seul sur sa joue, je me rappelle plus du départ, ni de
l’arrivé, (rire)
Il avait une forte envie de rire,
je le voyais sur son visage, mais par respect pour la fille, il me tire de là et
s’excuse à ma place.
Lui : une femme n’a jamais
fait preuve de jalousie, pour moi. (Rire) depuis quand toi qui peut même pas
tuer une mouche peut gifler ?
Moi : Depuis que je suis née
(rire)
Lui : Zeeeuubi, on y va,
avant que tu te mettes à frapper toutes les femmes qui me regarderont,
Moi : (rire) tu rêves trop
toi, je l’ai giflé car elle te matait et voulais te séduire,
Lui : JALOUSIE,
Moi : je m’en fou,
Bon je vous passe le vol, moi
j’ai fait que dormir, et une fois arrivées nous avions pris une grande chambre
d’hôtel, dans laquelle y’avais, 2salles de bain, 1 grand lit, une grande télé,
et une belle vue, au balcon. C’était vraiment beau, dès notre entrée la chambre
je saute direct sur le lit, oh merde ça fait trop du bien,
Lui : tu ne vas pas redormir
hin, tu n’as fait que ça aujourd’hui,
Moi : c’est mon corps qui
réclame car je supporte trop tes caprices,
Lui : je vais faire genre tu
n’as rien dis, Alors on fait quoi ce soir ?
Moi : on mange et on dort,
Lui : et on fait aussi des
bébés,
Moi : y’a que toi Gaël pour
dire ça zeubi,
Bon nous nous sommes bien marrés,
le soir nous sommes allés au restaurant de l’hôtel pour le diner, tout était beau, un grand hôtel 5étoiles, de
la bonne ambiance, tout était très bien. Le repas fabuleux. Nous avons quittés
le restaurant autour de 22h par là.
Gaël : tu choisis entre,
monter dans notre chambre et faire des bébés ou se promener un peu dans la
ville ?
Nice : pourquoi y’a pas
l’option, monter dans notre chambre et dormir ?
Gaël : si, y’a cette option,
mais c’est après avoir faire des bébés. (Sourire au coin)
Nice : (rire) même pas drôle,
nous montons, car je suis fatiguée, je ne veux pas me promener,
Il me prend le bras et nous
montions dans notre chambre. Nous étions en train de s’amuser en faisant ce que
vous savez déjà (rire), quand quelqu’un toqua à la porte. Gaël enfile un short
et va ouvrir.
??? : Can you keep it down ?
because i was unable to sleep with her moans (pouvez-vous faire moins de
bruits ? car je n’arrive pas à dormir à cause de ses gémissements).
Je peux voir de loin, c’est une
dame un peu veille.
Gaël : No we can’t parce que
we too had payer, dobc disengage and donner nous la paix, shit (non parce que
nous aussi on a payé, donc dégager et donner nous la paix, merde).
Il claque la porte de tous ses
forces et me regarde, moi j’explose de rire, merde je faisais que rire, je ne
pouvais pas faire mieux,
Gaël : attend de quoi tu
ries là ? Mais je suis sérieux, parce qu’on est en Amérique, on doit nous
parler anglais de merde, moi aussi je
comprends anglais. De plus on peut plus faire ce qu’on veut, il faut qu’une
veille vient nous faire la moral à 23h en plus.
Moi :
(toujours en train de rire) ouais tu as raison, mais ton anglais est vraiment
(rire), excuse je ne peux pas m’empêcher de rire.
Gaël :
(fronce les sourcils en s’approchant de moi) au moins on peut continuer ce
qu’on a commencé. (Sourie)
Il s’est passé ce que vous savez
déjà.
Le lendemain nous nous sommes réveillés tôt,
car on devrait faire du shoping, la visite des sites touristiques, et une bonne
promenade. Entre temps Gaël avait loué une RANGE OVER blanche, et très belle,
pour faire nos courses. Alors on prend notre petit déjeuner, et En avant
l’AMERIQUE.
Sur le chemin il se gare au
niveau d’un parc, très joli, et nous descendions.
Gaël : j’ai fait la plupart
de mes bêtises ici, et ça me rappelle beaucoup de choses,
J’étais adossée à la voiture,
pendant que lui entrait dans le parc les deux mains dans la poche en parlant,
Moi : je vois, et ça te rap-
Je n’avais même pas encore finis
ma phrase quand je sens une main sur ma bouche, et un mouchoir blanc sur mon
nez, je respire une odeur blizzard et c’est fini, trou noir… (Perdre
connaissance).
DANS LA PEAU DE GAEL !
J’étais là à parler, tout seul,
quand je me rend compte que Nice ne disais plus rien, je me retourne et je la
vois plus, je cours à la voiture, j’ouvre, je fais le tour du parc mais rien,
je demande aux gens qui y étaient avec nous, et un petit m’affirme qu’il a vu
une fille tel que je l’ai décrite, entrée de force avec 2 grands garçon,
QUOI ? Sa serait, Henry et
Kais.
Bon je sais que vous ne les
connaissez pas, au fait y’a un an de cela j’étais toujours le chef de la Mafia Française. Je sais je sais, ça vous parait blizzard,
mais c’était pour avoir le pouvoir, j’avais et j’ai toujours des gars sous mes
ordres, Mais quand ma mère a appris cela, elle m’a fait épousé avec Nice, et
m’a forcé à quitter la mafia.
En voulant quitter j’ai cédé ma
place à Will mon bras droit, mais Henry et Kais mes cousins n’était du tout pas
d’accord et on promit me faire la peau quand je serai hors de la France, car
s’ils le font en France les gars vont leurs niquer. Mais ce qu’ils oublient
c’est que j’ai des gars sous mes ordres partout. Et s’ils touchent à un cheveu
de ma femme je leur nique, leur race.
Alors je prends mon téléphone, je
localise celui de Nice, j’appelle une dizaine de gars très rapidement pour que
nous allions avant qu’ils ne lui fassent du mal.
RETOUR DANS MA PEAU.
Je me réveille, et j’ai du mal à voir autour de moi, y’a du noir, je me
frotte les yeux et je me lève, je me rends compte que je suis dans un trou à
rat, une cave, qui pure, et dégoutte, j’essaie de me rappeler comment j’ai atterri
ici, et je me rappelle qu’on me portait dans une voiture noir, j’étais drogué
donc je voyais flou. Tout ça me fait très peur, ça sent du tout pas bon, mais
je m’en sortirai j’en suis sûr, alors j’hurle,
Moi : PUTAIN, VOUS N’AVEZ PAS
LES COUILLES OU QUOI ? AMMENEZ VOS QUEU ICI ? SORTEZ MOI DELA, SORTEZ
SORTEZ SORTEZ MOI DELA
Un gars très musclé entre avec un
sourie pervers et allume la lumière, je croise les bras et je le fixe droit
dans les yeux, (même si je tremble du fond du cœur).
Gars1 : Tu vas la fermer
sale gamine,
Moi : D’abord je ne suis pas
ta gamine, ensuite tu me veux quoi ?
Gars : Tu te la joue trop,
tu veux me frapper ? Je veux ton putain de mari, je veux sa peau contre la
tienne,
Moi : (explose de rire) tu
peux faire quoi s’il ne vient pas ? Me frapper ? Tu n’es qu’un PD et
un sale go-
Ayiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
là je l’ai pas vu venir cette gifle, on dirait ma joue va voyager bientôt,
Gars : on s’amuse pas avec
moi, si tu oses encore, ouvre ta sale gueule,
Moi : (crache sur lui) moi j’ai une gueule sale ? T’as vu la
tienne ? Même un chat drogué sur deux pattes d’orange est plus beau que
toi.
Là je vais mourir, pardon
commencé à creuser le trou (rire).
Gars : tu viens de faire
quoi là ?
Moi : J’ignorais que tu
étais aveugle pour voir,
On entend quelqu’un entré avec
manque de souffle
Gars2 : Kais, Kais, on a un
souci, c’est sérieux, montes vite,
Kais : JE N’AI PAS FINIS
AVEC TOI SALE PUTE,
Moi : (en l’imitant), je
n’ai pas finis avec toi sale connard
Il sort avec un sourire pervers
et ferme la porte, quelques minute plus tard, j’attends des coups de feu, on
dirait qu’il pleuvait des balles, je suis allé vers la porte en la tapant de
toutes mes forces, quand je sens quelqu’un l’ouvrir, alors je recule d’un pat
de peur que ça soit Kais. La porte s’ouvre, et je vois un gars clair, avec une
belle coupe de cheveux, et des yeux marrons, il est très beau.
Gars : tu dois être NICE,
nous sommes venus te sortir de là, aller bourges,
Moi : hmmmm,
Gars : je te mens pas
crois-moi, Gaël est en train de se battre pour toi dehors, si sa peut te
réconforter,
Alors je le suis et nous
rejoignons Gaël en courant, il y’avait une dizaine d’homme avec lui, d’autres
se battaient, d’autre tiraient, d’autre préparaient les voitures, et moi seul
regardaient le spectacle (rire), c’est comme si j’étais dans un film,
??? : (C’est Gaël) tu crois que
c’est le bon moment pour rêver là, grouilles toi, derrière ce poteau(en me
montrant un grand poteau)
Moi : Mais et t-
Lui : il n’y a pas de mais,
NICE, tu-
Gars : Patron on ne peut pas
s’en sortir, nous avions besoin de
renfort, ils sont trop nombreux,
Gaël court vers moi avec une
partie de ses gars aussi, les tires allaient dans tous les sens et nous nous
cachions de temps en temps. Gaël me tend son portable
Lui : tient appelle, Will
(toujours en tirant)
Moi : WILL SMITH ?
Lui : Merde, on se fait
tirer dessus et c’est WILL SMITH, je vais appeler ? Qu’est-ce que son
numéro fera même dans mon portable bordel,
Moi : (sourit) on ne sait
jamais,
Il me lance un regard noir et
continue son FAST AND FURIOUS, je prends le téléphone, je fouille et je vois un
certain WILL, je lance l’appel, ça sonne, mais j’entends rien. Alors je quitte derrière
le poteau les mains sur la tête, du coup j’entendais plus de coup de feu, comme
s’ils s’étaient stopper pour entendre ce que je vais dire.
Moi : MERCI POUR LE SILENCE,
EST-CE QUE VOUS POUVEZ CESSEZ LES COUP DE FEU POUR QUE JE PASSE UN APPEL ?
Gaël me tire vers lui, en mettant
sa main sur ma bouche,
Lui : tu es folle ? On
se fait tirer dessus et toi tu trouves à demander le silence, tu veux mourir ou
quoi ?
Je ne le réponds même pas et je
mets le portable sur haut-parleur,
Moi : Mr WILL, ON SE FAIT TIRER
DESSUS DANS LA DEVENTURE D’UNE GRANDE VILLA ET JE VAIS MOURIR SI VOUS NE VENEZ
PAS, GAEL AUSSI, bip, bip, biiiiiiiiiiip,
Sa c’est coupé, boff au moins
j’ai appelez,
Gaël : IL a dit quoi ?
Moi : rien mais- (je gratte
ma nuque)
Lui : MAIS QUOI ?
Moi : J’ai oublié de donner
l’adresse, ayiiiiiiiiiiiiiiih (je laisse échapper un cri)
C’était une balle qui m’avait
atteint, je tombais quand Gaël m’attrapa dans ses bras, je le voyais flou et
quelques minute après un trou noir…
DAN LA PEAU DE GAEL.
J’étais en train de parler avec
NICE, quand elle voulait tomber et je l’ai attrapé, elle était blessée et perdait
beaucoup de sang, elle ne répondait plus et ne bougeais plus, j’avais peur,
très peur, de là perdre, soudain WILL et sa bande arrivent, ils s’occupent des
connards qui nous tiraient dessus, et moi je conduis NICE à l’hôpital avec Yves
(un ami).
Arriver à l’hôpital elle fut
directement amener au bloc d’opératoire, y’avais l’alarme qui sonnait, des
infirmiers et infirmières qui couraient dans tous les sens, j’ai rempli toutes
sortes de formulaires et j’ai signé. Ma tête ne cessait pas de tourner, je
m’assoie sur un banc dans la salle d’attente et je mets mes coudes sur les
genoux, la main sur la tête. Je m’en veux tellement, je ne pourrai pas vivre
sans elle, je priais, pleurais, criait, je tapais tout ce qui m’entoure
Dans le haut-parleur, il criait urgence
au blog d’opération, eh seigneur, à l’entente de cette phrase, c’était comme si
on me trempait dans de l’eau chaude.
Moi : SI VOUS N’Arriviez PAS
A SAUVER MA FEMME JE VOUS TUE,
Une infirmière : Mr
calmez-vous, tout iras bien,
Elle, le regard noir que je lui ai
jeté l’a fait disparaitre en moins de 2secondes. Je pouvais plus supporter sa
fait déjà plus 1h qu’ils sont là, je me suis assis sur toutes les places de la
salle d’attente et maintenant je suis par terre à pleurer qu’elle soit saine et
sauve, ma tête était baissée, quand je sens quelqu’un entrée, c’était Will et
Yves (des amis) Will me relève pour me faire un câlin, mais quand je voie le
docteur entré je l’ignore et je vais vers le docteur en fronçant les sourcils.
Docteur : Vous êtes les
membres de la famille de Nice ?
Moi : JE SUIS SON MARI, Où
EST MA FEMME ?
Docteur : Désolé Mr on a
fait tout ce qu’on pouvait, mais-
Je ne le laisse pas finir et je
me fonds à terre, les larmes aux yeux, Will et Yves avaient les mains sur la
tête, moi je faisais que pleurer et crier,
Moi : RENDEZ-MOI MA FEMME,
JE VEUX MA Femme,
Je ne pouvais pas supporter, que
vais – je dire à sa famille ? Que vais-je devenir sans elle ? Tous
nos beau moment me revenais à l’esprit, tels qu’elle souriait, faisais la
gamine, tels qu’elle dansait avec ma maman, elle me faisait tellement rire,
alors qui va me redonner cette belle vie ?
C’est quelque mois passer avec elle, est un
paradis pour moi, (pleure) je veux ma femme, elle est mon tout, je ne peux pas
la perdre. J’étais toujours à terre, je voyais mal, j’avais les vertiges, je
pouvais voir mes deux potes debout les deux mains sur la tête, tout étais
tellement rapide, en une journée, tu perds la personne avec qui tu t’es
réveillé, avec qui tu as pris ton petit-déjeuner, à qui tu as embrassé, la mort
ne préviens vraiment pas, c’est affreux.
Partie 12
Docteur : je crois vous m’aviez
mal compris Mr, je voulais dire qu’on a fait tout pour que l’opération ne dure
pas, elle est dans la chambre 220,
A l’attente de cette phrase je me
suis levé du sol, en courant, je lisais tous les portes, 210, 215, 217, 219, et
enfin 220, j’ouvre la porte et elle était couchée sur le lit en train de
dormir, j’étais tellement heureux que je n’ai pas remarqué Yves et Will
derrière moi, alors je lui fais un petit bisou sur le front en passant ses cheveux
derrière ses oreilles, j’essuie rapidement mes larmes. Merde elle est tellement
belle quand elle dort,
Je prends sa main gauche, je
m’assoie à côté d’elle et je pose ma tête sur le lit, Will et Yves vont me
chercher à manger, et quelques vêtements de rechange pour Nice et moi à
l’hôtel.
Retour dans ma Peau
Je me réveille et je me rends
compte que je suis dans une chambre d’hôpital, je voulais me lever, mais la
blessure au niveau de mon épaule me faisait très mal, j’ai donc appuyé l’alarme
pour que le docteur vienne, je vois Gaël à ma gauche en train de dormir comme
un bébé. Le docteur entre et Gaël se réveille. Il avait les yeux purement
rouge, très rouge,
Moi : Docteur qui est-ce ?
Et qu’est-ce que je fou ici ?
Le Docteur me sourit, Gaël lui,
fronce les sourcils et regarde le docteur d’un air énervé
Lui : (écarquille les
yeux) ELLE A PERDU LA MEMOIRE ?
DOCTEUR JE VOUS POSE UNE QUESTION.
Moi : (j’explose de rire, je
faisais que rire de toutes les manières possible) Je blague, (fou rire)
Docteur : (rire) Moi je vais
vous laissez, madame vous avez besoin de repos, je reviens avec vos
médicaments,
Je lui hoche la tête, et il sort.
Gaël : tu es sérieuse ?
Tu crois que c’est une blague à faire ?
Moi : (change de sujet) J’ai faim,
Lui : (fronce les sourcils)
ça m’étonne pas, tu es pro en changement de sujet, tu veux manger quoi (en s’asseyant
sur le bord du lit)
Moi : Frite, Hamburger,
coca, chips, cookies, gâteaux.
Lui : (écarquille les yeux)
tu vas manger tout ça ?
Moi : Pour quelqu’un qui
vient de sortir d’un bloc d’opération, et du coma, je crois que c’est normal.
Lui : bloc d’opération
d’accord, mais coma je ne crois pas, tu as dormir que 1h de temps, et tu parles
de coma (rire).
Moi : Aller s’il te plait,
Lui : A la condition que tu
m’appelles chéri tout un mois.
Moi : hmmmmm (fronce les
sourcils).
Lui : à toi de voir !
Moi : ok
Il sort en claquant la porte,
Moi : AJOUTE DEUX CROISSANTS.
Lui : TA GUEULE ZEUBI !
Il revient avec des sachets qu’il
dépose sur le lit, nous mangeons
ensemble, on toc à la porte, Gaël va ouvrir et laisse entré deux gars dans la
chambre qui avait aussi des sachets dans la main, je pouvais reconnaitre le
plus élancé c’était celui qui est venu me faire sortir de la cave, mais le second
aucune idée.
Gars 1: Salut madame… (Se gratte la nuque)
Gars 2 : Salut !!
Moi je faisais que manger,
surtout les cookies.
Gaël : Nice, je te présente
Will (me montrant le plus court) et Yves (me montrant le plus élancé) !
Moi : ok, Résumé :
celui qui m’a fait sortir de la cave, et celui que j’ai appelé, D’accord(en
hachant la tête)
Gaël : si je résume bien,
vous aviez passé 2h de temps pour chercher nourriture ?
Will : Nous sommes passés à
l’hôtel pour prendre vos affaires.
QUOI ? Prendre nos
affaires ? Dieu merci je n’ai pas dévalisé les miennes, sinon ils verront,
mes sous-vêtements, string et autres, merde ! Qu’est-ce qui me dit qu’ils
n’ont pas fouillé pour Voir ?
Breff on a tous passer
l’après-midi ensemble, ce sont des gars cool, ils étaient très comiques et on
n’était tous dans la bonne ambiance, ils nous ont laissé autour de 16h, moi je
suis rentrée dans la salle de bain pour me laver et m’habiller car je devrais
sortir à l’heure-là. Gaël à acheter tous les comprimés et rempli tous les
formulaires, nous sommes est sortis autour de 18h, mais moi je n’étais pas à l’aise.
Gaël : allés petite montes
direction aéroport, on rentre ce soir,
Moi : (d’un ton sérieux)
faut qu’on parle, et tu sais très bien,
Gaël : attend au moins que
nous rentrions, et je te promets d’être direct et véridique.
Moi : ok
Je vous passe le trajet, à part
dormir rien de spécial, une fois à la maison (en France), je me suis assise au
salon, et Gaël en face de moi, il me fixe longtemps, et soupire !
Gaël : Je t’écoute !
Moi : Pourquoi ils m’ont
kidnappé ?
Lui : J’étais le grand chef
de la mafia française, les deux qui t’on kidnapper sont mes cousins, ils
veulent se venger de moi car je ne les ai pas céder la place, mais plutôt à
Will, si j’ai laissé la mafia, c’est pour fonder une vraie famille et profiter
de ma femme, ce n’est pas pour rien d’autre que ça. Ils t’ont Kidnappé pour me
faire du mal, par pour te faire du mal chérie, je m’excuse (larmes aux yeux).
Moi : … (Larmes aux yeux)
Lui : (larmes aux yeux) Je
sais que tu m’en veux, mais s’il te plait dis quelque chose, même si c’est
hurler, hurle, mais s’il te plait ne m’ignore pas.
Moi…
Lui : Mais Nice bordel
répond moi,
Je cours et je rentre dans notre
chambre, je range quelque vêtement et je vais m’enfermez dans mon ancienne
chambre, je ne pouvais pas l’adresser la parole, je me suis marié avec un grand
mafieux sans le savoir, et cela me brise le cœur, je ne peux pas lui parler,
Soudain j’entends sa voiture démarrer, je jette mon regard vers la devanture et
je le vois partir.
Je ne sais pas où il va et à
cette heure, mais moi je m’en fou, je Veux une seule chose c’est parlé à ma
mère, je la veux, c’est ma force, ma joie de vivre. Il est 23h et Gaël n’est
toujours pas rentrée, je m’assoie me couche sur le lis, mon regards vers le
plafond et une larme qui s’échappe et coule,
Je l’aime, mais je ne peux pas
lui pardonné ça, je me suis fait kidnappe à cause de lui, j’ai même failli
mourir, je ne peux pas, non je ne peux pas lui pardonné sitôt.
J’étais en train de réfléchir quand mon
téléphone vibre et je vois un message d’un inconnu. Etonné mais surtout curieuse
j’ouvre le message et je vois !!
Inconnu : Tu crois que ton
mari est saint, regardes cette photo !
Moi : qui es-tu ?
Inconnue : celle qui t’ouvre
les yeux !
Celle ? Donc c’est une meuf.
Je télécharge quand même la photo et là qu’est-ce que je vois ? Gaël
chicha entre les deux mains et une meuf avec des tatouages sur le corps, assis
sur lui. On dirait il est dans une boite de nuit, de plus je reconnais ce
tee-shirt, c’est avec ça il est sorti ce soir. Donc conclusion il est à une
boite de nuit, avec des meufs. OK ES BUEN (c’est bien).
Je fais toutes mes valises, je
voulais sortir quand je me rends compte qu’il est déjà 00h, alors je texte dora
(la fille de mon oncle) elle a déjà son propre appartement donc je vais rester
avec elle un moment avant de me débrouiller, Je vais me coucher et demain je
dégage très tôt de cette maison, non seulement il est à la base de mon
kidnapping, mais aussi, il me trompe avec des puttes.
Le lendemain je me réveille tôt,
je me douche, je fais ma routine, je porte un jogging gris, un tee-shirt gris,
et des baskets noirs. Je sors de la chambre et une fois au salon, je le vois (Gaël)
couché sur le divan, on dirait il est soulé, je le dépasse avec mes valises et
je vais au portail, Dora m’attendais déjà
au portail donc je sors en prenant soin de bien fermer, et au revoir !!
On est rentrée, et j’ai pris
place au salon, elle me fixait tellement que j’évitais son regard.
Elle : tu devrais lui parler
NICE !
Moi : Tout ce que je veux
c’est l’oublier, (pleure), c’est un pervers, clochard, sanglé.
Dora : Aller viens dans mes
bras(en me faisant un câlin) tout vas s’arranger j’en suis sûres, chérie.
Je vous passe deux semaines, tout
n’était pas beau, je n’avais pas de nouvelles de Gaël et ses sœurs n’ont pas
cessé de m’écrire pour que je revienne chez leur frère, elles venaient même de
temps en temps ici pour me parler et m’apporter des cookies, mais je voulais en
aucun cas le voir, ni le parler.
Aujourd’hui c’est samedi, Dora m’a proposé de
l’accompagner faire du shopping, car sa fait 2semaines je suis plus sortie de
l’appartement, Alors j’ai accepté, d’ailleurs je n’ai même pas le choix. Alors
nous sommes sorties, et nous avons fait les magasins, elle a pris tout ce
qu’elle voulait et des choses pour moi que je n’ai même pas demander. Boff,
j’étais juste présente de corps et mon esprit était vers Gaël. Nous avons
finis, et nous sommes allés s’assoir dans une cafète un peu plus loin de la
voiture,
Dora : Je vais uriner, je
reviens,
Moi : ok !
Je prends mon téléphone et je
vois un message de Gaël,
Lui : Tu es belle, même en
bourdant,
Je tourne mon regard dans tous
les sens pour voir s’il était autour de moi,
Lui : Tu me cherches ?
Je voulais me lever et partir
quand je le vois, s’assoir devant moi.
Lui : Je supporte plus ton
silence Nice, putain ça fait deux semaines, qu-
??? : Que vous vous êtes plus vus,
ni parler.
Dora étais déjà là.
Dora : T’inquiètes Nice,
prend ton temps, Gaël tu l’as dépose saine et sauve, chez nous.
Elle part en me faisant un petit
sourire de loin en. Sale gosse, elle ne
pouvait pas me tirer d’ici ? Merde de merde, je croise les bras, je
m’adosse et le fixe du regard.
Gaël : Pourquoi tu es partie
sans me dire un mot ?
Moi : Parce que tu es allé vers tes putes
sans me dire un mot,
Gaël : Quoi ? (fronce
les sourcils)
Je prends mon portable et je le
montre la photo, il s’avait pas quoi dire,
Moi : En plus tu veux encore
mentir, Laisses-moi tranquille,
Je m’apprêtais à partir, mais il
m’attrape le poignet et me tourne vers lui, je pouvais voir à quel point il
avait envie de pleurer, il me fixe du regard, et je fais pareil, nous sommes
resté comme ça pendant au moins 5minutes.
Lui : Nice je suis désolé,
je suis vraiment désolé, mais j’étais bourrer, et je savais plus ce que je
faisais, mes anciennes habitudes, me sont montées la tête, s’il te plait
excuse-moi. (Il laisse tomber une larme en me prenant dans ses bras.)
Moi : je vais aux toilettes,
j’ai besoin de me soulager un peu
Lui : Ok, je
t’attends !
Une fois aux toilettes j’ai lâché
tous mes larmes, j’avais envie de l’embrasser et le pardonner, mais qu’est-ce
qui me dis qu’il ne reprendra pas la même chose après ? Bon je sors des
toilettes et je vois Gaël en train de parler avec son Ex, elle s’appelle Askia
(je la reconnais car j’ai vu ses photos dans le téléphone de Gaël et j’ai
supprimé) elle fou quoi ici cette pétas, il avait l’air énervé, alors je
m’approche d’eux à petit pats.
Askia : Où est ta sois disant femme, dont
tu me parle même ?
Je m’approche d’elle et me met à
côté de Gaël pour répondre.
Moi : Je suis en train de
rectifier le dictionnaire en créant une pétition pour qu’à côté du mot pute, se
trouve ta photo (embêtement à haut dose).
Gaël explose de rie en tapant les
mains, moi-même je souriais,
Askia : C’est aussi mon mari
ma chère.
J’allais rétorquer mais je sens
une main se poser sur mon épaule. C’est Gaël, il a sa main sur mon épaule et
est plié en deux comme s’il vomissait.
Moi : (je le regarde) tu
fais quoi même ?
Lui : attend je vais vomir
elle a dit que je suis son mari ! Faut que je dégueule.
Morte de rire, j’explose de rire,
j’en pouvais plus. Je tire Gaël et on sort, il me ramène chez moi, bon chez Dora.
Moi : ouvre la portière nan,
t’attends quoi ?
Lui : (d’un ton triste) tu
reviens à la maison quand ?
Moi : Quand je serais sûres
que tu sais faire la différence entre Putte et épouse, entre vie réel et
vie de merde, entre maison et boi-
Lui : et boite de nuit, je sais, et je te prouverais que j’ai changé,
ses deux semaines sans toi mon fait réfléchir,
J’avais mes mains croisé et le
regard ailleurs,
Lui : J’ai un match super
important la semaine prochaine et je veux que tu viennes, ta venue me prouvera
que tu m’aime et tu me pardonne
Moi : …on verra
bien !
Lui : S’il te plait !